Depuis le 11 décembre, Paris s’est rapproché de Zurich, et inversement : Bâle est désormais à un peu plus de trois heures et Zürich à un peu plus de quatre.
Grâce à la nouvelle ligne de TGV Rhin-Rhône qui traverse la Franche-Comté et va assurer à l’avenir une belle liaison nord-sud entre l’Europe du nord (Allemagne, Suisse,…) et du sud (France, Espagne,…), une fois les autres connexions établies. Un bon présage pour cet échange européen ! Et une bonne façon de l’initier sous le signe de la mobilité durable, en sautant la case « aéroport », sous prétexte de vaine rapidité.
Mais que vient faire le vélo dans tout ça ? Il a lui aussi réservé sa place à bord, pour la modique somme de 10 euros (place garantie pour un transport sans soucis). Car la ville de Zurich est bien plus escarpée qu’une de nos villes alpines en France comme Grenoble ou Chambéry. En dehors du centre et de la vallée de la Limmat, ça monte bien pour rejoindre les secteurs de l’agglomération comme Oerlikon au nord. Et devant résider dans un de ces quartiers, j’ai préféré tenir mon vélo électrique que de courir une location sur place, offre paradoxalement pas développée dans cette ville qui promeut l’usage du vélo.
Message personnel à la SNCF et son alliance Railteam : dommage de voir l’offre TGV s’accroître au détriment de services vélo à bord, avec des nouvelles rames à deux étages (Duplex) qui ne possèdent plus de tels espaces. Il est vrai que l’on peut imaginer les agents du département marketing se faire violence en conservant de tels emplacements, qui neutralisent quatre places assises (enfin, quatre strapontins), susceptibles d’être commercialisées en surréservation et au prix fort pour des retardataires…
Grâce à la nouvelle ligne de TGV Rhin-Rhône qui traverse la Franche-Comté et va assurer à l’avenir une belle liaison nord-sud entre l’Europe du nord (Allemagne, Suisse,…) et du sud (France, Espagne,…), une fois les autres connexions établies. Un bon présage pour cet échange européen ! Et une bonne façon de l’initier sous le signe de la mobilité durable, en sautant la case « aéroport », sous prétexte de vaine rapidité.
Mais que vient faire le vélo dans tout ça ? Il a lui aussi réservé sa place à bord, pour la modique somme de 10 euros (place garantie pour un transport sans soucis). Car la ville de Zurich est bien plus escarpée qu’une de nos villes alpines en France comme Grenoble ou Chambéry. En dehors du centre et de la vallée de la Limmat, ça monte bien pour rejoindre les secteurs de l’agglomération comme Oerlikon au nord. Et devant résider dans un de ces quartiers, j’ai préféré tenir mon vélo électrique que de courir une location sur place, offre paradoxalement pas développée dans cette ville qui promeut l’usage du vélo.
Message personnel à la SNCF et son alliance Railteam : dommage de voir l’offre TGV s’accroître au détriment de services vélo à bord, avec des nouvelles rames à deux étages (Duplex) qui ne possèdent plus de tels espaces. Il est vrai que l’on peut imaginer les agents du département marketing se faire violence en conservant de tels emplacements, qui neutralisent quatre places assises (enfin, quatre strapontins), susceptibles d’être commercialisées en surréservation et au prix fort pour des retardataires…
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